Ô quel dommage, encore des taches. Y'a pas de quoi pleurer tout de même.
lundi 28 février 2011
lundi 21 février 2011
26/46
vendredi 18 février 2011
Belzébuth
Sa majesté des mouches en tête et Stamping ground dans les oreilles.
photogramme tiré du film éponyme de Peter Brook
mardi 8 février 2011
sans queue ni tête
Je découvre le travail d'Henry Drager via Formes Vives. Je pense que c'est de lui dont Kira m'avait parlé le jour où l'on a visité l'expo de Jockum Nordström à Anvers.
Dans le bus samedi soir, quatre jeunes, une fille et trois garçons, un belge et trois français :
La fille, au téléphone, termine sa conversation et raccroche : ça veut dire quoi nonante et un?
Un des gars : quatre-vingt onze.
Un autre : c'est dingue comme vous vous êtes permis de massacrer notre langue.
Et moi, intérieurement : petit con... attends d'entendre mon accent.
Au Congo, à poil et imberbe. Tintin est rose comme un petit cochon.
lundi 7 février 2011
et annonçons la résurrection de la loi
Un peu tard pour vous proposer ce reportage d'Arte.
En voici le résumé piqué sur le site :
L'ascension irrésistible de Silvio Berlusconi dans la politique italienne remonte à 1994. Mais il avait adhéré dès 1978 à la loge P2, dissidente de la maçonnerie. Celle-ci a été déclarée illégale et dissoute par une loi spéciale en 1982, car elle était "un point d'ancrage en Italie des services secrets américains, dont l'intention était de tenir sous contrôle la vie politique italienne. Notamment en vue de promouvoir certaines réformes constitutionnelles, voire d'organiser un coup d'État." La P2 était "une sentinelle attentive à ce que n'émerge pas le parti communiste et avait l'Italie en main. Nous tenions l'armée, la guardia di finanza, la police, tous dirigés par nos adhérents à la P2", déclare ainsi son ancien "vénérable maître" Gelli.
En seize ans, Berlusconi a réussi à faire voter trente-six lois lui permettant d'obtenir soit une immunité, soit une prescription de ses délits - juges achetés, falsification de bilans, corruption, ententes illicites, etc. C'est lorsqu'il a commencé à s'en prendre à la Constitution, à la justice et à la télévision publique que d'aucuns ont vu ressurgir le spectre de la loge P2, dont les appuis dans les partis, les ministères, les services secrets, les tribunaux, les grandes banques et les médias avaient pour objectif la mise en place d'un régime autoritaire. Ce scénario doit-il être aujourd'hui écarté ?
Et encore.
mardi 1 février 2011
Bleus
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